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Kapasha - L'Informateur de Shabunda et du Sud-Kivu (RDC)

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14 février 2018

Accueil du Blog de Shabunda

Bienvenue sur le Blog de

KAPASHA - L'INFORMATEUR

 

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Le Blog Kapasha est "en sommeil" : son principal rédacteur ayant -temporairement- franchi les océans... Cependant le blog reste ouvert aux visiteurs... 


 Depuis le 1er février 2010, les pages de ce Blog ont été lues par des visiteurs venant de

Belgique  États-unis République démocratique du Congo Rwanda Libéria Allemagne Suède France Chine Corée, république de Taïwan, province de chine Kenya Norvège Turquie
 Canada Afrique du sud Maroc Espagne Suisse Mexique Royaume-uni Argentine Cameroun Russie, fédération de Sénégal Italie Maurice Danemark Burundi
 Namibie Pologne Pays-bas Brésil Saint-kitts-et-nevis Gabon Malaisie Mexique

Pour écrire au journal, une seule adresse :
kapasha2009@yahoo.fr

 

KAPASHA - L'INFORMATEUR est un mensuel d'information générale basé à
Shabunda / Sud-Kivu en République Démocratique du Congo.

L'édition papier est diffusée localement. Ce Blog reprend une version au format .pdf afin que ceux qui sont loin du pays puissent aussi accéder à ce nouveau lien avec leurs racines.

Au sommaire du n° de février 2010 :

Sommaire_2010_02

Ce Blog est géré par l' 

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http://congoblog.canalblog.com


 

pour tout commentaire sur le Blog :
tamtam_1310@yahoo.fr

 


Les lecteurs de ces pages l'auront compris : ce Blog est "en sommeil"... Les rédacteurs étant en déplacement de longue durée.


 

Chaque mois, le Musée de Tervuren (Belgique) publie l'image du "trésor du mois".
Pour le mois d'août 2011, c'est une corde à proverbes qui a été choisie...

corde à proverbe

Pour atteindre le site Internet du Musée Royal de l'Afrique centrale :

http://www.africamuseum.be/home/treasures/proverb

PS : maintenant, c'est le Musée de Tervuren qui est "en sommeil" : suite à des travaux de très grande ampleur, le Musée est fermé jusqu'en 2018... Ensuite ce sera un Musée complètement rénové qui ouvrira au public ses collections consacrées à l'Afrique Centrale, parmi les plus riches au monde. 

 


 

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25 août 2015

L'or maudit de Shabunda

Article paru dans Le Soir de Bruxelles
(25 août 2015)

Colette Braeckman est "la" journaliste belge, du quotidien Le Soir, spécialiste du Congo (RDC) et spécialement de toute la Région des Grands Lacs. Dans l'article repris ici, elle réagit à une nouvelle situation catastrophique dénoncée par une coalition de la Société civile des Grands Lacs...

L'or maudit de Shabunda

 par Colette BRAECKMAN

Si le rythme d’exploitation actuel se poursuit, où 660 kilos d’or sont produits chaque mois, soit huit tonnes par an, d’ici moins de quatre ans, toutes les réserves de la rivière Ulindi, qui traverse le territoire de Shabunda auront été épuisées…

Un rapport produit par la société civile de la région des Grands Lacs (1) décrit par le menu une nouvelle malédiction,  celle des richesses, qui vient de s’abattre sur le territoire de Shabunda, l’un des plus isolés du Congo, des plus éprouvés aussi. C’est là en effet que les deux guerres du Congo ont recruté des combattants et laissé des centaines de milliers, sinon des millions, de victimes, c’est là qu’un nombre incalculable de femmes ont subi des violences sexuelles d’une brutalité inégalée, pratiquées par les rebelles hutus puis par tous les groupes armés congolais.  La paix relative dont se vantent les autorités du Sud Kivu se traduit de facto par un équilibre entre le groupe armé des Raia Mutomboki, originaires de la région, et les forces armées congolaises. Equilibre assuré aussi par le partage des énormes richesses que produit ce territoire peu accessible.  Depuis un an et demi environ, il apparaît qu’à la violence armée des deux décennies précédentes a succédé l’exploitation intensive et rapide des ressources aurifères de deux des trois cours d’eau qui traversent le territoire, la rivière Ulingi et Lulingu. On sav  ait déjà que Shabunda était riche en cassitérite, wolframite, coltan, que le territoire possédait du diamant et de la  tourmaline. Il apparaît aujourd’hui que dans le lit des rivières se trouvent d’importantes réserves d’or. Fini le tamisage manuel d’autrefois ! Aujourd’hui, l’exploitation des sédiments des lits des rivières se fait à l’aide de deux types de dragues : les « dragues suceuses », sorte de radeaux portant un équipement permettant de sucer les sédiments alluviaux par un simple tuyau qu’un plongeur enfonce dans le gravier, à trente mètres de profondeur. Aspirés par la pompe, les sédiments remontés à la surface sont déversés sur une  sorte de tapis, un « sluice »et  les particules fines qui s’y trouvent sont amalgamées par l’équipe de lavage à l’aide de mercure. Après la combustion de l’amalgame, l’or pur peut être récupéré.  Chaque drague utilise 1 à 2 kilos de mercure par mois pour réaliser l’opération.

D’après les chiffres communiqués par la Fédération des exploitants artisanaux, 175 dragues suceuses  fabriquées localement (avec du matériel chinois) opèrent sur le territoire de Shabunda, dont 171 sur la seule rivière Ulindi et chaque jour les équipes récupèrent entre 20 et 40 kilos d’or.  D’après les calculs de la société civile, qualifiés de « conservateurs », les 175 dragues artisanales produisent 550 kilos d’or par mois, une production acheminée par petit porteur vers les comptoirs de Bukavu.  Depuis un an, des engins plus performants encore sont entrés en action : quatre  dragues dotées de « chaînes à godets » ont été amenées par la société chinoise Kunhou Mining Group. La chaîne à godets pouvant atteindre une profondeur de dragage de 15 mètres, les quatre dragues recueillent à elles seules 110 kilos d’or par mois.

Ce qui signifie que, grâce aux dragues, le seul territoire de Shabunda produit près de 8 tonnes d’or  par an et cela alors que toute la production aurifère du secteur artisanal était jusqu’à présent estimée à 10 tonnes par an.

L’exploitation par drague n’étant pas réglementée par la législation minière, aucun titre minier n’a été attribué à la société chinoise et jusqu’à présent aucun site minier n’a été validé dans le territoire de Shabunda.

Ces exploitations en dehors du cadre légal ne sont cependant pas perdues pour tout le monde : les propriétaires de dragues paient une multitude de taxes , impôts et autres prélèvements dont beaucoup n’ont  pas de base légale.  Ainsi par exemple, le « service d‘assistance et d’encadrement du small scale mining » (Saesscam) dont la création avait été saluée en Europe comme une tentative de remise en ordre du  secteur minier perçoit 10% des recettes des dragues suceuses, soit 1,14 millions de dollars par mois, alors que ses agents se contentent d’assister à l’accostage des radeaux…Le groupe armé des Raia Mutomboki profite également de la manne : les 50 dragues opérant dans le territoire qu’il contrôle doivent payer des droits d’entrée, les passants doivent présenter un « livret d’impôts », des prélèvements sont effectués sur la production aurifère…Quant aux forces armées gouvernementales, elles perçoivent elles  aussi des contributions tandis que des officiers sont propriétaires de dragues ou détiennent des maisons d’achat d’or.

Tout cela pourrait apparaître comme un « système de redistribution à la congolaise »  dans lequel tous les puissants du territoire trouveraient leur compte si au moins l’avenir des populations n’était pas hypothéqué. Tel n’est cependant pas le cas : le dragage de 6 millions de mètres cubes par an détruit les couches sédimentaires de la rivière mais surtout, plus d’une tonne de mercure est déversée chaque mois dans la seule rivière Ulindi. Ni les exploitants miniers ni les populations riveraines ne mesurent les effets à long terme de ces vapeurs de mercure qui peuvent contaminer l’eau et le sol.

A Shabunda, une paix mal gérée qui rend possible le pillage et l’exploitation irréfléchie des ressources peut, à terme, s’avérer plus meurtrière encore que les guerres à répétition !

(1)Coalition de la société civile de la région des Grands lacs contre l’exploitation illégale des ressources naturelles


 

 

20 août 2015

Shabunda - La Ruée vers l'Or

SHABUNDA 

Shabunda - Or - 2015 - 2

Shabunda - Or - 2015 - 1

RÉSUMÉ EXÉCUTIF 

Shabunda, le plus vaste territoire de la Province du Sud Kivu, complètement enclavé d’accès routier, vit une ruée vers l’or. Deux rivières avec des sédiments riches en or traversent le territoire, la rivière Lugulu et notamment la rivière Ulindi. Depuis environ une année, les autochtones de Shabunda ont pu observer une hausse exponentielle des activités d’exploitation minière sur leurs rivières. Au moment de la publication de cette étude, 175 dragues suceuses, opérés par des équipes d’exploitants artisanaux, oeuvrent en grande majorité sur la rivière Ulindi, ainsi que quatre dragues industrielles à chaîne à godets d’une entreprise chinoise. 

Malgré l’importance du phénomène des dragues à Shabunda en termes de production aurifère, mais aussi en termes d’impact nuisant sur le processus de paix et sur l’environnement, à la connaissance des auteurs, cette étude est la première qui se consacre à jeter un éclairage sur les pratiques des dragues. 

L’étude montre que les 175 dragues suceuses et les 4 dragues industrielles à chaîne à godets produisent 660 kg d’or par mois, ce qui revient à près de 8 tonnes par année. Toute cette quantité quitte le pays d’une façon illicite en enrichissant des groupes armés et des acteurs non éligibles du secteur minier. 

Depuis son inauguration solennelle en présence des autorités locales et provinciales en septembre 2014, une société chinoise dénommée Kunhou Mining Group a commencé à exploiter dans une zone occupée par les Raia Mutomboki moyennant quatre dragues à chaîne à godets entièrement mécanisées. Malgré l’illégalité de son exploitation, la société chinoise mène des rapports étroits avec les autorités du Sud Kivu, surtout le Ministère de Mines. Leur soutien à l’entreprise lui est garanti par la prise en charge de frais de mission des agents étatiques et la distribution de pots de vin généreux. 

Dans le code minier et le règlement minier en vigueur, il n’y a pas de dispositions spécifiques qui réglementent explicitement l’exploitation par dragues. La règlementation par la voie d’arrêtés qui se contredisent mène à des confusions et empêche la formalisation de ce secteur. Au contraire, cette situation facilite aux autorités administratives, militaires et politiques de Bukavu à s’impliquer dans l’exploitation illégale des dragues. 

Une prolifération de prélèvements auprès des exploitants de dragues suceuses est observée dont la plupart n’ont pas de base légale. Le SAESSCAM exige 10% de la production et fait recours à la force par des éléments des FARDC et de la Police de Mines pour les récupérer. 

Le SAESSCAM récolte environ 1,3 million de $US par mois auprès des dragues, dont 250 000 $US dans la zone Raia Mutomboki. Là, le SAESSCAM collabore étroitement avec les groupes armés pour réussir la taxation. Les prélèvements recueillis ne rentrent pour la plus grande partie pas dans les caisses de l’Etat Congolais et ces montants considérables ne contribuent pas au développement du Territoire de Shabunda. Le territoire manque de presque toute infrastructure et sa population souffre à nos jours d’une grande pauvreté. 

Non seulement le SAESSCAM collabore avec les Raia Mutomboki, mais aussi la Chefferie de Bakisi. L’autorité coutumière délègue même sa taxation par livret d’impôt aux groupes armés. Sur la production aurifère des dragues, elle récolte chaque mois une somme impressionnante d’environ 1,6 million $US où le sort de cet argent ne se laisse pas tracer et ne contribue pas au développement local. 

Cette forte activité minière ne laisse l’environnement pas intouché et surtout l’utilisation importante de mercure est alarmante. Ni les exploitants, ni la population riveraine ne sont conscients des effets nocifs pour la santé humaine. Les services de l’état en charges, le SAESSCAM et la Division des Mines, manquent d’encadrer les exploitants artisanaux et mettent ainsi en péril les écosystèmes aquatiques et terrestres. 

En démontrant les inconsistances et les aberrances liées à l’exploitation aurifère par dragues à Shabunda, les auteurs de cette étude formulent des recommandations pour tous les aspects relevés dans ce rapport. Leur mise en oeuvre est de plus haute priorité pour assainir la situation à Shabunda et arriver à une meilleure gouvernance du secteur minier à Shabunda. 


Télécharger le rapport complet (40 pages) :

http://ahp.li/5f529bff19b1915d0319.pdf


 

22 mars 2015

Un ami belge de Shabunda

Un Ami belge de Shabunda 

Patrick DUPRIEZ

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Patrick DUPRIEZ et Mgr Simon-Pierre IYANANIO à Ciney-Ville du Monde 

Ce dimanche 22 mars 2015 marque un tournant pour un ami de Shabunda : Patrick DUPRIEZ a été élu aujourd'hui co-président du parti Ecolo (les Verts) de Belgique. Dans sa nouvelle fonction, on lui souhaite de pouvoir continuer à construire des ponts là où il reste tant de barrières, de murs ou de fossés... 

Né en Afrique (Cameroun), aimant les Africains et l'Afrique, en 2007 il était échevin de la Ville de Ciney et avait été un des pionniers de la mise en place de la "Commission Ciney-Ville du Monde" patronnant, entre autres, le partenariat entre Ciney et les projets menés par l'ASBL Alliance-Kivu à Shabunda.

En 2008, il accueillait à Ciney Mgr Simon-Pierre Iyananio, originaire de Shabunda (photo) et, en 2010 -il était alors député régional wallon- c'est à la tête d'une délégation belge qu'il fut reçu à Shabunda (voir la vidéo) :

 http://www.dailymotion.com/video/xf3t3d_ciney-shabunda-2010-10-jours-a-shab_news

Colette BRAECKMAN, "la" journaliste belge spécialiste du Congo connait bien son engagement pour l'Afrique :

http://www.patrickdupriez.be/citoyen_patrick_dupriez/#more-1846


 

25 février 2015

Samba Balega ! Chansons en Pays Lega

Le Pays Lega en chansons

(page en construction) 


 

 

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13 février 2015

Les Chants de Shabunda

Les Chants de Shabunda

(page extraite du blog http://cantacongo.afrikblog.com)

Shabunda est le chef-lieu du Territoire du même nom, situé dans la province du Sud-Kivu à l'Est de la République démocratique du Congo. D'une superficie de 25.000 km² et peuplé de 700.000 habitants, ce territoire est difficile d'accès : comme il n'y a quasi plus de routes, les très rares voyageurs qui s'y rendent utilisent généralement des avions "taxi-brousse". C'est ce qu'ont fait quelques "wazungu" (européens) venant de Belgique qui emportaient dans leurs bagages le petit enregistreur numérique audio (ZOOM H2), lui aussi "de brousse"..., mis à disposition par Solidarité Congo. Ce sont les chants enregistrés lors de ce voyage qui sont proposés ici. Ils ont été enregistrés au cours des très longues cérémonies religieuses qui constituent des moments de rencontre privilégiés (nombreux sont ceux qui marchent jusqu'à 80 km en forêt pour y participer...) au cours desquels s'exprime une joie de vivre sidérante au regard des conditions dans lesquelles les populations vivent au quotidien...

Tout ce que vous écouterez est enregistré "live". Les conditions de prise de son ne sont jamais idéales et on demande donc un peu d'indulgence de la part des audiophiles puristes ! Pour être utilisables sur ce blog, les chants ont été mis au format MP3.

   
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  on espère compléter (titres des chants, etc.) très prochainement...

Une seconde occasion s'est présentée pour enregistrer du chant choral à Shabunda  :

 
 
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31 décembre 2014

Ciney-Informations communales

 

Visite du Président d'Alliance-Kivu-Congo à Ciney

Compte-rendu dans le bulletin communal de décembre 2014

Ciney Ville du Monde_déc_2014


 

31 juillet 2012

Juillet 2012 - Le point sur la coopération

 CINEY

Sud-Kivu : le point sur la coopération

lundi 16 juillet 2012 07h00 - Michel MOTTE - L'Avenir  
  
 
Charles (assis à gauche) avec Mme Mercier.
Derrière eux, Bernard Deharre et l’échevine Mme Camus.

L’aide ponctuelle apportée par Ciney, à Shabunda au Sud-Kivu, produit peu à peu des résultats. Le point avec un envoyé de là-bas.

Ville du monde, Ciney mise sur la coopération avec Shabunda. Pourquoi avec cette ville du Sud-Kivu en République démocratique du Congo? Parce que la ville accueille parmi ses habitants une dame originaire de Shabunda, Nelly Mercier. Un appel à projets a été lancé; il a rencontré l’adhésion non seulement de la Ville mais aussi de la Région wallonne et de la Province de Namur. Une somme de 100 000 € a été mise à disposition du projet (90 000 € de la Région, 5 000 € de la Ville et 5 000 € de la Province). L’échevin Patrick Dupriez d’abord, Anne-Marie Camus ont pris le projet à bras-le-corps. Et les résultats ne se sont pas fait attendre. Une radio communautaire du nom de Radio Mutanga a vu le jour. Rapidement, on s’est rendu compte qu’il s’agissait d’un outil important car il faisait connaître l’action d’

Alliance Kivu, nom qu’a pris la coopération, aux populations de l’intérieur. Est né ensuite un centre de formation préparant à la menuiserie et la maçonnerie. De quoi réaliser sur place ce qu’il était trop coûteux de faire venir de Bukavu, en raison de l’état des routes. Par avion, c’était impensable. Aujourd’hui, une briqueterie a aussi vu le jour. Entre-temps, Patrick Dupriez, Mme Mercier et le receveur communal Bernard Deharre ont pris le chemin de Shabunda. Mme Camus y est aussi allée en compagnie d’Éric Paquet, le responsable de la formation à l’EFT Espaces de Ciney, entrée dans le projet. Trrois ans après la mise en route du projet, Alliance Kivu vit en autonomie. Elle confectionne du mobilier, des briques, et aide à la construction de maisons plus solides. Et la radio vend ses services, des tranches d’émission, des disques demandés, etc. Quatorze personnes y sont employées. Le budget est de 1 030 dollars par mois (50 % pour la paie du personnel, 30 % pour le fonctionnement, 20 % mis en réserve).

D’autres collaborations

Alliance Kivu travaille aussi avec la ville de Nivelles, plus spécialement dans le domaine de la pisciculture et l’élevage de porcs. La Loterie nationale intervient dans le domaine des cultures maraîchères. Autrefois, le Kivu était le potager du Congo.

Tout ceci, c’est un représentant d’Alliance Kivu, Charles, en visite en Belgique où il a pris de nombreux contacts, qui l’a raconté. Il est fier de ce qui se passe chez lui. Le travail réalisé, a-t-il aussi dit, est basé sur une chaîne de solidarité, les travailleurs devant laisser une partie de leur travail (de la farine, par exemple) à Alliance-Kivu pour son fonctionnement. Et, détail important, on compte trois dames sur les cinq personnes qui sont dirigeantes. Ciney participe aussi à l’action, à raison de 6 000 € cette année.


 

16 mars 2010

Kapasha - février 2010

KAPASHA  -  L'INFORMATEUR

Page1_2010_02

pour télécharger une version .pdf imprimable de ce n° de KAPASHA,
cliquer sur le lien :

KAPASHA_02_2010.pdf

 

 


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